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 islam islamisme perspective nouvelles

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MOH ZELDA
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MOH ZELDA


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Date d'inscription : 13/03/2010
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islam islamisme perspective nouvelles Empty
MessageSujet: islam islamisme perspective nouvelles   islam islamisme perspective nouvelles I_icon_minitimeSam 26 Mar - 5:37

au regard de ce qui se passe dans le monde arabe je vous propose a la
discussion un texte tres pertinent de Nourredine boukrouh sur les
evenements actuels dans le monde arabe


Le nouveau visage du monde arabe
Par Noureddine Boukrouh
Au début des années 1990, les Algériens s’enorgueillissaient d’être les
pionniers de la démocratie dans le monde arabe parce qu’ils ont été les
premiers à se soulever en laissant cinq cents morts par terre sur le
coup et plusieurs centaines de milliers d’autres par la suite.
Aujourd’hui, je me demande si nous n’avons pas retardé de vingt ans le
soulèvement des peuples arabes, comme je me demande si la vague de
révolutions qui déferle actuellement sur le monde arabe se serait
déclenchée si les évènements, au lieu de commencer en Tunisie et de se
dérouler de la manière qu’on a vue, avaient eu pour point de départ la
Libye. Je crois que Ben Ali et Moubarak seraient encore dans leurs
palais, et que le prix de l’huile n’aurait pas baissé chez nous. Car qui
aurait voulu voir dans son pays ce que nous sommes en train de voir en
Libye : effondrement de l’Etat, division du pays, Kadhafi rééditant, en
la décuplant, Guernica, intervention militaire étrangère… Le résultat de
tous ces malheurs sera le retour de ce pays frère au néolithique.
Lorsque le président Chadli instaura le multipartisme, Ben Ali,
Moubarak, Gueddafi, et peut-être d’autres aussi, le désapprouvèrent et
le mirent en garde contre les conséquences de l’introduction dans le jeu
politique légal de partis islamistes ; le roi du Maroc, lui, trouvait
bon que l’Algérie «serve de laboratoire». Et quand le terrorisme
s’installa, commettant des exactions qui ont horrifié l’humanité, il
leur était loisible de montrer du doigt à leurs peuples les dangers de
la démocratie à l’occidentale. On leur sût gré ici et là de leur
clairvoyance, et ces despotes purent se consacrer tranquillement à la
rapine et à la préparation de la transmission du pouvoir à leurs
proches. Voilà pourquoi cinq cents Bouazizi algériens n’ont pas réussi
là où un seul Bouazizi tunisien a suffi : soulever cent cinquante
millions d’Arabes et abattre en quelques semaines quelques-uns des
dictateurs qui sont restés le plus longtemps à la tête des
«républiques», en attendant le reste, car la mèche court dans toutes les
directions. Nous pouvons donc affirmer que, dans une certaine mesure,
c’est sur notre malheureuse expérience que les tyrans arabes, ceux-là et
d’autres, ont assis la pérennité de leurs régimes au moment où les pays
de l’Est se débarrassaient du totalitarisme communiste, et l’Amérique
latine de la dictature militaire. L’Algérie avait fourni la preuve que
des élections démocratiques dans le monde arabo-musulman débouchaient
fatalement sur la victoire des islamistes. La théocratie iranienne, le
spectacle donné par les taliban, les attentats commis par Al- Qaïda à
travers le monde, la création de l’«émirat de Ghaza», etc., s’ajouteront
les uns aux autres comme contre-modèles pour faire le reste. Ils
achèveront de dissuader les peuples arabes de tenter l’aventure
démocratique, un régime despotique étant préférable au déchaînement de
barbarie qu’ils ont vu en Algérie et en Afghanistan. Cela devint même le
sentiment prégnant chez nous. Parallèlement, l’islamisme avait pris
pied en Occident et, mettant à profit le libéralisme des lois des pays
d’accueil, entreprit de s’appliquer le «droit à la différence». Le
commerce halal, l’érection de minarets, le port de la burqa après le
hidjab, etc. firent leur intrusion dans le paysage sociologique de
l’Europe. Ces signes ostentatoires prirent le caractère de messages
politiques provocateurs et finirent par exaspérer les Européens qui,
redoutant une «islamisation rampante » de leurs sociétés, furent de plus
en plus nombreux à développer des sentiments islamophobes, incitant
leurs gouvernements à devenir plus circonspects à l’égard d’une
démocratisation des sociétés arabes qui livrerait le pouvoir au
fanatisme et à l’extrémisme. Ces gouvernements trouvaient également un
autre intérêt dans l’affaire : il est en effet plus aisé de traiter avec
des hommes dont on sait la fragilité et connait les numéros de comptes
bancaires, qu’avec des parlements soumis à la souveraineté de leurs
peuples. L’Algérie n’a cependant pas été qu’un contre-exemple.
L’islamisme algérien, son discours nihiliste et ses dérives terroristes,
et à la fin son rejet par la population, ont donné à réfléchir aux
mouvements islamistes dans le monde arabe, et les a amenés à adapter
leurs prétentions aux réalités intérieures et extérieures. Ce doit être
la combinaison de l’exemple négatif illustré par le FIS algérien et de
l’exemple positif incarné par l’AKP d’Erdogan en Turquie qui ont
prédisposé En-Nahda en Tunisie et les «Frères musulmans» en Égypte à
adopter un profil bas dans la situation actuelle, mettant en avant dans
leur langage les notions d’Etat de droit, de société civile, de
démocratie, de libertés publiques, et évitant toute référence à l’Etat
islamique. Apparemment, Mawdudi et Sayyed Qotb ne sont plus de mise. Si
c’est cela l’islamisme, alors il n’y a pas de quoi fouetter la queue
d’un chat. A leur point de départ, dans leur phase épique, lorsque les
foules rivalisent d’héroïsme et d’ingéniosité pour arracher leur
liberté, toutes les révolutions paraissent belles, idéales, et on voit
volontiers en elles quelque chose d’immanent. L’Histoire nous a appris
cependant à craindre les lendemains de révolution. Après la phase épique
de la révolution de 1789, la France a connu le Directoire, puis le
Consulat, puis l’Empire, puis la restauration de la monarchie, puis le
Second Empire et enfin, en 1870, la proclamation définitive de la
République. De même, la révolution russe a été accaparée par un parti
minoritaire, le parti communiste bolchévik, qui en a fait une dictature
qui a recouvert de son ombre la moitié de l’humanité pendant
trois-quarts de siècle avant de s’effondrer avec le mur de Berlin. La
révolution en Tunisie et en Égypte est en train de sortir de la phase
épique pour rentrer dans la phase technique, celle de la mise en place
des nouvelles institutions. A la différence de la révolution française
qui n’avait pas de modèle à suivre, sinon dans l’Antiquité romaine, et
devait donc innover, ou de la révolution russe qui voulait réaliser une
utopie à partir du canevas marxiste, les changements en Tunisie et en
Égypte se déroulent dans un cadre constitutionnel préexistant. Au
besoin, les intéressés ont autour d’eux une palette de modèles
d’organisation démocratique dont ils pourront s’inspirer. Du dénouement
dans les prochains mois de ce qui se passe dans ces pays dépendent
énormément de choses qui ont à voir avec notre propre destin. Le monde
arabe est aujourd’hui au premier plan de la scène médiatique
internationale et au centre de la politique mondiale. C’est la première
fois que la planète a vu des Arabes sortir dans la rue par centaines de
milliers pour autre chose que pleurer la mort d’un «zaïm» ou d’une diva,
ou vouer aux gémonies un écrivain «satanique». Ils sont devenus l’objet
d’une admiration quasi universelle parce qu’ils ont enfin rejoint le
«monde libre». Mais dans les sphères dirigeantes internationales, on
attend avec une certaine appréhension ce qui va sortir dans les
prochains mois de cet imbroglio, et épie les gestes des différents
protagonistes, surtout les représentants du courant islamiste.
L’Occident, jugeant qu’il a déjà assez à faire avec l’Iran et
l’Afghanistan pour s’embarrasser de régimes du même acabit, se tient le
ventre en se demandant ce que sera le poids électoral des islamistes
dans les scrutins à venir, sachant qu’il en découlera des conséquences
sur les monarchies pétrolières et sur ses intérêts dans la région, sans
parler d’Israël. Depuis les précédents iranien, algérien et palestinien,
la conviction s’est enracinée partout que le principal risque avec
l’instauration de la démocratie dans le monde arabe c’est l’arrivée au
pouvoir de l’islamisme. Tout le monde sait qu’il est là, diffus dans la
société, tapi dans les mosquées ou des lieux de réunion plus discrets.
Les islamistes étaient parmi les manifestants en Tunisie, en Égypte, au
Yémen, en Libye, en Jordanie, à Bahreïn, au Maroc, en Syrie, même s’il
était impossible d’évaluer leur nombre. Mais on n’a pas entendu de
dissonances venant d’eux ; ils étaient dans la partition, ne se
singularisant par aucun sectarisme. Mieux encore, les «Frères musulmans»
et «En- Nahda» se sont engagés à jouer le jeu à visage découvert et à
l’intérieur de l’Etat républicain. Bon nombre de signes indiquent que ce
risque peut être déclassé et ne plus être considéré comme majeur. A
l’époque où les «Frères musulmans» étaient au zénith de leur
rayonnement, la société égyptienne était largement rurale et
analphabète, de même que les autres contrées arabes. Le monde arabe,
partagé entre monarchies et régimes «révolutionnaires » et plongé dans
la guerre froide à cause de la question palestinienne, était traversé
par des idéologies qui ont toutes fait faillite face au défi sioniste.
L’avènement de la révolution iranienne, le «djihad» contre l’Union
soviétique en Afghanistan et contre Israël en Palestine et au Liban,
puis la chute de l’empire russe, furent mis à l’actif des idées
islamistes. Cellesci purent alors se présenter comme une alternative à
l’ancien monde bipolaire et aux gouvernements séculiers, et leur bras
armé, le terrorisme, apparût en Égypte, avec les «Gamaât islamiya», en
Algérie avec les GIA, et sur la scène internationale avec Al-Qaïda. Sur
fond d’échecs militaires répétés (guerres israéloarabes), les islamistes
apparaissaient comme des héros car pendant que les peuples, victimes
résignées, ployaient sous le despotisme, eux s’étaient soulevés, avaient
pris les armes et accepté de mourir pour la «cause de Dieu». Mais
depuis l’entrée massive des peuples sur la scène politique de leurs
pays, les thèses et les figures islamistes se sont brusquement
dépréciées, comme les actions dans une bourse secouée par une crise. Ben
Laden, Zawahiri, Ali Benhadj, etc. n’évoquent plus des Robin des bois
musulmans. Les révoltés n’ont pas clamé leurs noms, ni brandi leurs
portraits. Ils sont passés à la trappe de l’Histoire en même temps
qu’était jeté dans ses poubelles le souvenir des despotes. Le temps de
l’islamisme pur et dur est passé. suite.....












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MessageSujet: Re: islam islamisme perspective nouvelles   islam islamisme perspective nouvelles I_icon_minitimeSam 26 Mar - 5:37

Les jeunesses porteuses de l’aspiration à une vie démocratique
moderne ne se laisseront pas voler leur révolution car elles sont
politisées, cultivées, informées, vigilantes. On en a eu un aperçu à
travers la façon dont elles ont dicté en Tunisie et en Égypte leur
feuille de route aux autorités en charge de la transition : renvoi des
gouvernements laissés par les despotes, dissolution du parti «officiel»
et restitution de ses biens au domaine public, démantèlement de la
police politique, élection d’une Assemblée constituante, élections
législatives et présidentielles… Le monde arabo-musulman est à un
important tournant de son histoire. La Nahdaratée au siècle dernier est
peut-être en train de se réaliser sous la direction des peuples. Ceux-ci
ont pris en main leur destin, ils ont retrouvé la parole, ils n’ont
sombré ni dans l’anarchie, ni dans la destruction aveugle, ni dans
l’islamisme, ni dans le tribalisme. Au contraire, ils ont révélé de très
hautes capacités de discernement et d’analyse. Jusqu’ici, aucune chose,
aucune personne, n’est arrivée à les distraire de leurs objectifs. Ils
parviendront à leurs buts s’ils continuent à regarder en avant, s’ils
tirent les leçons du passé récent et lointain, s’ils gardent le cap sur
les valeurs universelles de liberté, de progrès et de tolérance. C’est
le moment de trancher tous les nœuds, de faire face notamment au
problème de l’instrumentalisation de la religion. L’Égypte et la Tunisie
sont les mieux placées pour innover en la matière et assumer le rôle de
pionniers. Le politique et le religieux doivent être séparés comme le
préconisaient des oulamas comme Abderrahmane al-Kawakibi et Ali
Abderrazik au siècle dernier. L’Égypte compte dans sa population dix
millions de Coptes. Les scènes de fraternisation entre Musulmans et
Coptes sur la place Tahrir, auxquelles le monde a assisté médusé dans la
phase épique de la révolution, lui ont donné une idée de ce que
pourrait devenir l’Égypte demain. Si Al-Azhar et le chef de l’Eglise
copte sont restés fidèles à Moubarak jusqu’au dernier moment, les
fidèles des deux cultes ont affronté ensemble les forces de l’ordre, et
c’est ensemble qu’ils ont remporté la victoire. On a vu le croissant et
la croix avoisiner sur les pancartes, et musulmans et chrétiens célébrer
côte à côte la messe et la prière du vendredi. Leurs prières montaient
vers le même ciel, portant les mêmes prières, pour le salut de la même
Égypte. La nouvelle constitution égyptienne et les nouvelles
institutions devront refléter la réconciliation des deux communautés
dans le sang mêlé durant le combat pour la liberté. La liberté des
coptes, dans tous les domaines, devra être aussi totale que celle de
leurs compatriotes musulmans. On ne va pas à la démocratie avec des
relents de théocratie ou un prosélytisme guerrier. C’est le moment de
retirer du pied du monde arabo-musulman une épine qui le gêne depuis
longtemps. Les idées cheminent lentement, mais elles finissent par
arriver à leur destination. Elles deviennent alors des paradigmes, des
archétypes, des sources d’inspiration pour les autres, ceux qui, à
travers le monde arabo-musulman, ont passionnément suivi les évènements
et se sont instruits des différentes manières de se libérer du
despotisme. Ce que les Algériens ont vu et ressenti déclenchera
forcément en eux une réflexion sur leur propre situation. Sans parler de
«l’effet papillon» et des surprises qu’il peut réserver à tout moment.
Ces dernières revêtent toujours la forme la plus inattendue, comme le
«plombier» qui a fait tomber Nixon ou la gifle donnée par une policière à
un marchand ambulant dans un coin perdu du Maghreb. Que n’auraient fait
ou donné Ben Ali, Moubarak et Kadhafi pour éviter leur sort actuel, eux
qui savent désormais qu’ils finiront leur vie soit en prison, soit au
bout d’une corde, leurs familles détruites et les dizaines de milliards
de dollars volés partis en fumée ? Quoiqu’il en soit, le nouveau visage
du monde arabe est en train de se dessiner touche après touche, au fur
et à mesure que la révolution démocratique abat les bastions du
despotisme. Ce qui réussit tend à devenir un modèle. Nous ne connaissons
pas encore ce nouveau visage, il ne s’est pas encore affiché sur nos
écrans, mais il n’est pas exagéré de dire que c’est le sort du monde
entier qui est suspendu à cette affaire Bouazizi.
N. B. le doir d'algerie du 24 mars 2011












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